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C’est à l’automne 2020 que Sylvain Brouillette a rejoint la CCQ à titre de vice-président – Vérification et enquête. Originaire de Montréal, Sylvain a travaillé pendant 29 ans comme policier au Service de police de la Ville de Montréal (SPVM). Avant son arrivée à la CCQ, il a également été directeur de la Sûreté aéroportuaire d’Aéroports de Montréal et directeur général de la Ville de Saint-Bruno-de-Montarville.

Sylvain, comment as-tu vécu ton arrivée dans une nouvelle organisation en pleine pandémie ?

« Le défi était majeur ! Je suis arrivé au moment où l’industrie de la construction, comme tous les autres secteurs d’activité, vivait de grands bouleversements et devait s’adapter à la nouvelle réalité. Dans ce contexte, la CCQ a dû modifier ses façons de faire afin de poursuivre ses activités de vérification et d’enquête dans le respect des différentes mesures en place, et de continuer d’assurer la conformité de l’industrie. 

Par ailleurs, le mode de travail virtuel a changé la proximité habituelle que j’ai avec mon équipe, et mon style de gestion a dû s’adapter afin de maintenir nos échanges et de continuer d’être à l’écoute de leurs besoins et préoccupations. »

Quelle est ta vision de la CCQ ?

« La CCQ doit être à l’écoute de l’industrie pour lui permettre de s’adapter aux réalités actuelles et futures. Il s’agit d’une industrie en grande évolution qui représente une importante proportion du produit intérieur brut (PIB) du Québec. Pour cette raison, nous devons faire preuve d’agilité afin d’offrir un service de qualité et de faire face aux exigences de l’industrie. »

Quelles sont les grandes orientations de ta vice-présidence, pour l’année 2022 ?

« Tout d’abord, je veux continuer le travail entrepris par mes prédécesseurs concernant la vérification et les enquêtes. Je veux aussi revoir la vision de la gestion globale de la vice-présidence, afin de confirmer que nous répondons aux nouvelles réalités du terrain. 

Ensuite, je désire m’assurer que les 408 employés de ma vice-présidence sont efficients dans leur travail et sentent qu’ils font une réelle différence. Finalement, il est important à mes yeux qu’un principe d’équité soit respecté entre les différentes régions du Québec, quant à la qualité et au volume des opérations. »