Publié le 13 juin 2024
La publication Perspectives professionnelles dans l’industrie de la construction 2024-2028 de la Commission de la construction du Québec est maintenant disponible en ligne. Cette publication offre une estimation des besoins de main-d’œuvre dans l’industrie de la construction, pour l’ensemble des métiers, et ce, pour chacune des régions du Québec.
Pour la période 2024-2028, les besoins de recrutement s’élèvent à 17 000 personnes par année, ce qui couvre à la fois les besoins de remplacement et les besoins engendrés par la croissance des heures travaillées. Il s’agit d’une hausse de 1000 personnes par rapport à l’exercice produit l’an dernier.
Dans le contexte économique actuel, la CCQ tient à mettre au jeu des données et des analyses qui seront utiles non seulement pour bien comprendre le contexte économique de la construction, mais aussi pour que la CCQ et ses partenaires puissent proposer des stratégies adaptées aux besoins : dans ce cas-ci, on pense à une meilleure rétention de la main-d’oeuvre, à des moyens pour attirer davantage de personnes diplômées dans les métiers de la construction, ou à un recours plus grand aux personnes issues de la diversité et des Premières Nations et Inuit.
« Le secteur de la construction sera à la recherche d’environ 9 % des effectifs prévus au cours des prochaines années où près de 200 000 travailleuses et travailleurs seront sur les chantiers. Ces données sont comparables à d’autres secteurs économiques. Au cours des prochains mois, nous continuerons d’améliorer la mesure des besoins. En 2023, nous avons accueilli 3 950 nouveaux diplômés dans la construction, sur près de 15 700 nouveaux salariés. Les stratégies mises de l’avant pour attirer, retenir et former la main-d’œuvre dont nous avons besoin devront être audacieuses et convenues avec les partenaires clés. L’intensification du recours à l’alternance travail-études s’annonce déjà comme une avenue à privilégier. La CCQ sera au rendez-vous pour mettre en place des solutions adaptées. », explique Audrey Murray, présidente-directrice générale de la CCQ.
Pour la période 2024-2028, les besoins de recrutement s’élèvent à 17 000 personnes par année, ce qui couvre à la fois les besoins de remplacement et les besoins engendrés par la croissance des heures travaillées. Il s’agit d’une hausse de 1000 personnes par rapport à l’exercice produit l’an dernier.
Dans le contexte économique actuel, la CCQ tient à mettre au jeu des données et des analyses qui seront utiles non seulement pour bien comprendre le contexte économique de la construction, mais aussi pour que la CCQ et ses partenaires puissent proposer des stratégies adaptées aux besoins : dans ce cas-ci, on pense à une meilleure rétention de la main-d’oeuvre, à des moyens pour attirer davantage de personnes diplômées dans les métiers de la construction, ou à un recours plus grand aux personnes issues de la diversité et des Premières Nations et Inuit.
« Le secteur de la construction sera à la recherche d’environ 9 % des effectifs prévus au cours des prochaines années où près de 200 000 travailleuses et travailleurs seront sur les chantiers. Ces données sont comparables à d’autres secteurs économiques. Au cours des prochains mois, nous continuerons d’améliorer la mesure des besoins. En 2023, nous avons accueilli 3 950 nouveaux diplômés dans la construction, sur près de 15 700 nouveaux salariés. Les stratégies mises de l’avant pour attirer, retenir et former la main-d’œuvre dont nous avons besoin devront être audacieuses et convenues avec les partenaires clés. L’intensification du recours à l’alternance travail-études s’annonce déjà comme une avenue à privilégier. La CCQ sera au rendez-vous pour mettre en place des solutions adaptées. », explique Audrey Murray, présidente-directrice générale de la CCQ.